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Il est peut-être temps de prendre en compte l’importance de l’aération des locaux et de modifier les gestes barrières

Quand allons-nous enfin admettre que le virus de la COVID-19 se transmet également par voie aérosol ?

Au début de l’épidémie, en l’absence de connaissance sur le virus et de masques chirurgicaux, on pouvait comprendre les dispositions prises notamment en ce qui concerne la distanciation physique et le recours massif au gel hydroalcoolique.

Mais aujourd’hui, il est temps de modifier ces gestes barrières qui ont montré, jusqu’à présent, une efficacité somme toute relative.

Le port obligatoire du masque chirurgical n’est bien étendu pas à remettre en cause dans les espaces clos. Cependant, celui-ci n’est pas suffisant. En effet, s’il reste très efficace pour la transmission par contact proche inférieur à un mètre (arrêt des gouttelettes et « grosse particules »), il est en revanche moins performant quant à la diffusion de l’aérosol.

Prendre en compte la diffusion du virus par voie aérosol a pour conséquence de prendre en compte deux caractéristiques :

  • Sa capacité à rester en suspension dans l’air ambiant
  • Sa capacité à diffuser sur de grandes distances

Il existe alors deux moyens pour s’en prémunir en dehors d’un confinement total :

  • Le port d’un masque de type FFP2
  • Et/ou Le renouvellement de l’air des espaces clos

Le port du masque FFP2 est un recours très intéressant pour ralentir, voir couper la transmission du virus. En effet, contrairement au masque chirurgical, il a l’avantage de protéger le porteur de ce masque de son environnement immédiat et de diminuer la diffusion du virus par voie aérosol si la personne en est porteur.

Cependant, il présente trois inconvénients :

  • Le premier est que c’est un Equipement de Protection Individuel (EPI) et qu’il répond à une norme stricte. De ce fait, il paraît peu probable qu’il soit disponible en quantité suffisante pour équiper la population.
  • Le deuxième sera son prix.
  • Le troisième est que le taux de fuite étant beaucoup plus faible qu’avec un masque chirurgical, la perte de charge est plus importante et donc plus difficile à supporter d’un point de vue respiratoire sur une longue période.

L’autre voie est celle de l’aération des espaces clos et de la connaissance du renouvellement de l’air.

Des pays ont adopté cette démarche, notamment l’Allemagne où Angela Merkel a débloqué des fonds pour effectuer des audits portant sur l’aération des locaux administratifs. Il en est de même au Canada.

Se préoccuper de l’aération des espaces clos s’avère donc être un recours très intéressant pour limiter la diffusion de la COVID-19.

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